Romuald Boissard

L'amour du 9ème art lui vient dès qu'il sait lire grâce à des titres comme Astérix, Lucky Luke ou Gaston Lagaffe. Très vite, il tombe dans la marmite du comic book et cet amour de la BD d'outre-atlantique ne s'est jamais démenti.

A la différence de ses petits camarades, Romuald retenait des noms comme Goscinny, Roy Thomas ou Denis O'Neil, et l'envie de raconter à son tour des histoires ne le quitta plus et remplit bien des carnets. Cette envie finit par être si forte qu'il décida de lui donner du temps après l'obtention de son diplôme. Grâce aux conseils et aux encouragement des auteurs de l'Epicerie Séquentielle, il put développer et aboutir ses projets.

En 2005, il supervise l'atelier d'écriture du collectif « Un siècle de Laïcité... vu par les jeunes » pour la ville de Lyon. Depuis 2005, Il a aussi dirigé l'écriture de scénario par des enfants (écoles, centres sociaux) dans le cadre du festival de BDécines, où il a organisé et présenté un forum sur le métier de scénariste, ainsi qu'au festival d'Ecully en 2006.

Donovann Bonnet

Jeune homme de 21ans qui étudie à l'ecole Émile Cohl et qui cherche à percer dans le milieu de la Bande dessinée.

Sylvain Charemand

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Guillaume Desbiolles

Passionné par la BD depuis son plus jeune age, Guillaume découvre le monde du fanzina en rejoignant le fanzine de BD Mikromix en 2000. Et il fait partie, en 2005, des membres fondateurs de Kartina.

Graphiste, il s'occupe aussi de la mise en page du fanzine papier et du site web.

Site perso : guillaumedesbiolles.com

Dubatov

Dictateur déchu, le général Dubatov a plusieurs cordes à son arc (ou cartes dans sa manche); tel un gentlemen cambrioleur, il est tour à tour dessinateur, auteur, musicien et compositeur.

Il tente de reconquérir le monde en distillant ses talents, nourri des influences de Tabary, Gotlib, Maester, Alexis, Janry, Greg, Labiche, Offenbach, Xavier Mielle et Marco Polo.

Charlie Fricaud

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KarinKa

Passionnée d’art depuis son plus jeune âge, elle a occupé son temps libre à peindre, dessiner, et hanter les musées.

En 1996, elle intègre le collectif d’artiste Odyss’art en tant que peintre, enchaînant expositions, performances artistiques, animations d’ateliers.

Elle participe notamment à la biennale d’art contemporain de Lyon.

En 2001, elle décide de se consacrer aux arts graphiques et d’en faire son métier. Après avoir exploré plusieurs voies, elle écrit en 2004 sa première nouvelle de bande dessinée, et la fait publier dans un fanzine. D’autres nouvelles suivront.

En 2005, elle travaille pour l’hebdomadaire Lyon capitale où elle réalise des illustrations et dessins de presse. Elle participe également cette année là à un recueil de BD consacré à la laïcité.

Lady Knight

Lady Knight est spécialisée dans la satire super-héroïque, mais aussi dans le genre féerique et disneyien...à moins qu'elle n'esclavage une armée de reptiliens pour faire tout cela à sa place bien sûr.

Xavier Mielle

Dessinateur, illustrateur, peintre, sculpteur, Xavier MIELLE a toujours dessiné et se tourne bien vite vers le pastel, l’encre de chine, et la peinture à l’huile, sa technique de prédilection. Il se redirige dans le travail du bois. Diplômé d’ébénisterie, puis après un passage par la marqueterie à Uzès et la sculpture sur bois à Lyon, il crée une association, les artistes du Bac à sable, avec laquelle il prend la route pour créer des expositions un peu partout dans le sud de la France (Rillieux-la-Pape, Lyon, Bourgoin, Millau, Aubenas; Vals-les-bains, Orgon...). Parallèlement, passionné de cinéma, Xavier MIELLE a contribué à divers ateliers et a aidé des équipes de cinéma (non crédité) lors de films, notamment avec le réalisateur Christian Tran, dans le cadre de l'association la maison de l'image en Ardèche. Il continue de lier ses passions du dessin et du cinéma en participant régulièrement en tant que bénévole aux festivals de BD et de cinéma (Lyon BD, les rencontres des cinémas d’Europe d’Aubenas, le festival Lumière de Lyon). Il gagne le 3éme prix du concours de BD des Monts de Lacaune en 2016

Philippe Mouchet

Par son métier dans une agence d’architecture, le dessin fait parti de son quotidien, mais c’est en autodidacte qu’il réalise des illustrations, puis la peinture accapara son énergie. Cela se traduira par plusieurs expositions. C’est encore aujourd’hui ce médium et l’évolution de son travail qui l’occupe.

Tombé tout petit dans le chaudron de le bande dessiné comme Obélix dans la potion magique, il a été nourrit dès son plus jeune âge par les grands classiques de la culture franco-belge : Astérix, Lucky-Luke, Lagaffe, etc. Plus tard c’est le magazine Pilote et les premières planches de Bilal, Lauzier et autres.

C’est par le biais de kartina qu’il réalisera ses premières planches.

Pékélé

Autodidacte ayant toujours dessiné, Pékélé réalise sa première BD de 48 pages à l’âge de 11 ans durant sa sixième scolaire. L’effort ayant eu raison de lui, il se contentera de dévorer des BD pour le reste de ses années collèges et de raconter des histoires à ses camarades.

Sa première publication BD eu lieu dans le fanzine Fun en bulle dès 1994, et ce pendant 5 ans, date de sa première publication professionnelle sous forme de strip BD dans Le journal de la Nature.

Il va s’ensuivre une collaboration avec ce dernier jusqu’en 2003, avec les aventures des bestioles imaginées par le scénariste Michel Monteil.

En 1999, il rejoint le fanzine Mikromix. Il y publie des séries de strips. Cet art minimaliste va faire l’objet de toute son attention jusqu’à devenir sa spécialité.

Parallèlement, Pékélé devient dessinateur de presse dans des revues à grand tirage telles que PC Jeux, l’officiel Xbox Magazine, 30 Millions d’amis.

Suite à la crise de la vache folle, Pékélé crée Margot La Vache, qui séduit la rédaction du mensuel 30 Millions d’amis, où elle trouve vite une place privilégiée. Il est remarqué, en 2003, par l’éditeur Guillaume Pahlawan des éditions Theloma, ce qui aboutit, en mars 2004, à l’édition d’un album regroupant les aventures de Margot. Depuis, 2 tomes sont sortis et le 3ème est prévu début 2007.

Roman Trévie

Né en 1965, Roman Trévie reçoit à 20 ans son premier uppercut graphique avec Sienkiewics et Miller, suivi d'un crochet au foie pictural de Schiele et d'un coup de boule balayette sculptural par Giacometti, avant de se faire cinématographiquement lynché par David. Ecchymosé, il s'inscrit aux Ecoles d'art de Lyon en parallèle de sa carrière d'ingénieur, puis affronte les arènes narratives de l'Epicerie Séquentielle. Il publie en 2008, dans le fanzine Kartina, un premier épisode de sa série "Néopolis", ville sécuritaire où règnent tous les excès de la consommation.

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